Très souvent, c’est à l’approche d’un événement particulier que les femmes prennent la décision de faire un régime. Ceci rend même la chose cyclique, avec des jalons bien établis : la volonté de rentrer dans sa robe de mariée à l’approche du dixième anniversaire de son union, l’approche tant redoutée de la plage au moment de l’été, ou encore la fameuse bonne résolution de début d’année. Chacune réussira à trouver le moteur de sa motivation, et c’est une bonne chose, car ce n’est qu’avec un objectif précis que l’on peut réussir la tâche ardue de perdre du poids.
Cependant, un facteur clé semble s’opposer à la motivation : c’est celui de la gourmandise. Hélas, bien souvent stigmatisée car considérée comme l’une des causes majeures de la prise de poids, celle-ci pourrait bien en réalité être transformée en moteur secondaire de la motivation, pour peu qu’elle soit utilisée comme système de récompense d’une somme d’efforts donnée.
En effet, sans que cela ne casse complètement les effort fournis dans le cadre d’un amaigrissement, il sera possible de s’accorder un petit plaisir par jour, cela afin de ne pas sevrer complètement son corps des choses que l’on affectionne le plus. Sans parler de se rendre à la pâtisserie du coin pour acheter un énorme baba au rhum, pourquoi ne pas envisager deux carreaux de chocolat noir à la fin du repas ? Le nombre de calories d’un tel aliment est limité, et en tenant compte de la quantité de lipides et de glucides apportés par le produit, il sera possible de l’intégrer plus généralement au sein du régime sans que cela ne porte préjudice aux efforts déjà accomplis pour maigrir.
Cette philosophie est celle pratiquée par de nombreuses sociétés spécialistes du régime qui, avec leur système de points, permettent à leurs clientes d’effectuer un régime à la carte, basé sur un équilibre global dans la journée.